Travailleur et très engagé dans le jeu, Amedome Mathias est l’un des éléments essentiels du coach Samuel Ekoe Galé qui ont participé au retour du club Kotoko FC de Lavié dans l’élite du football togolais. Une satisfaction pour le joueur togolais qui se lâche.
-Vice-champion de la D2 avec Kotoko FC de Lavié, dites-nous quels sont tes sentiments après avoir avoir ramené le club en D1 ?
A.M : C’est une grande satisfaction d’avoir contribué à la montée de Kotoko FC de lavié en première division cette saison, je suis très heureux d’avoir fait parti des hommes qui ont écrit cette belle histoire.
-Une Saison un peu spéciale avec la pandémie, comment tu l’as vécu en tant que joueur ?
A.M : Une saison très spéciale, vue que nous traversons une période très difficile liée à la pandémie, mais la FTF a fait un grand effort pour l’organisation de ce championnat, c’est à féliciter. Au début avec les tests PCR, c’est un peu stressant puisque tu ne sais pas si ton test de la semaine sera positif ou négatif pour pouvoir jouer. Mais avec le temps, on s’est habitué.
-Sur le plan personnel, quel a été ton bilan cette saison ?
A.M : Un bilan très parfait, puisque j’avais joué tout les matchs (12) en tant que titulaire au poste de latéral gauche. J’ai marqué un but et délivré 2 passes décisives.
-Parles-nous des difficultés que tu as rencontré au cours de cette saison ?
A.M : Pas de difficultés en tant que telle, il faut avoir un grand mental pour pouvoir affronter les matchs et beaucoup de concentration, puisque jouer 2 matchs par semaine c’est pas facile. Je profite pour remercier tout le bureau directeur du club de Lavié, le staff technique et tous les joueurs qui ont abattu un travail impressionnant.
– Après la montée, quelles sont tes ambitions pour le futur ?
A.M : Mon ambition, c’est faire mieux que la saison prochaine, pourquoi pas trouvé un bon contrat à l’extérieur.
– Tu continue avec Kotoko FC ou tu as des envies d’ailleurs ?
A.M : Je suis un joueur libre car j’ai plus de contrat avec le club, rien à dire pour le moment mais on verra bien la suite.